En miroir au « On aime » (lire ci-contre) de cette semaine, l’excès de mise en scène, qui sonne faux. Le règne de la communication freine l’authenticité des échanges avec certains décideurs. Or, pour que les choses avancent, il faut que les journalistes comprennent le dessous des cartes, pour mieux traiter des sujets. Nous n’avons pas la science infuse, et avons besoin de « off », pour le bien collectif. Chercher à cacher les choses, ou à divulguer des informations partielles, voire erronées, aux médias, crée un enfoncement collectif, dont tout le monde sort victime. Simple ressenti, après 25 ans de vol.
On n’aime pas 03/02
3 février 2025