« L’État transfère discrètement de plus en plus de charges au privé. Par exemple, le plafonnement des indemnités journalières en cas d’arrêt-maladie vient de passer de 1,8 à 1,4 Smic. Conséquence : l’assureur va payer plus et, au final, le client de l’assureur entrepreneur verra une hausse de ses cotisations. Cela arrive à un moment où les entreprises ont besoin d’un peu d’air. »
Éric Torremocha, Allianz Le Grau-du-Roi (30)
>La bonne nouvelle pour les DRH et les DAF est à croquer en cliquant ici (décret du 20 février)