« Nous avons un œil accru sur la rentabilité des projets photovoltaïques, déterminée par exemple par la taille du bâtiment ou le niveau d’ensoleillement. Avec l’augmentation des taux d’intérêt, le financement des projets est devenu plus exigeant. Il nous arrive de refuser des projets auprès d’agriculteurs. Nous visons la création de valeur pour l’agriculteur et nous-mêmes, et non pas le volume à tout prix . »
Bertrand Dellinger, président d’Apex Énergies (Montpellier)