Le Congrès International de la RSE se tiendra du 16 au 18 octobre à Toulouse (Lab’Oïkos), et pour la première fois en simultané à Nanterre, Saint-Nazaire, Besançon et Toulon en présentiel et distanciel. « Nous déployons le congrès sur plusieurs sites afin d’être au plus proche des territoires et de leurs acteurs. Nous espérons pouvoir le faire dans d’autres villes en France et même à l’étranger dès l’an prochain », explique aux Indiscrétions Rémi Demersseman, fondateur et président-bénévole de la Fondation Oïkos qui organise le congrès.
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Le programme de l’évènement, construit par le comité scientifique de la fondation, propose plus de 75 ateliers, conférences, tables rondes et débats. « Nous avons mis la biodiversité au cœur du programme cette année. Car s’il y a une prise de conscience sur le climat, les entreprises ont 15 ans de retard sur l’enjeu fondamental de la préservation de la biodiversité », indique Rémi Demersseman. 1.200 visiteurs sont attendus sur le congrès avec une vingtaine de pays représentés : tchèques, norvégiens, québécois, japonais…
« Aujourd’hui, avec la directive CSRD tout le monde doit se mettre à la RSE et ça peut faire peur lorsqu’on n’y connaît pas grand-chose. C’est pour cela que le congrès est accessible pour de nombreux profils de visiteurs : chercheurs, experts et consultants, étudiants, entreprises utilisatrices… », poursuit l’organisateur. Parmi les temps forts de cette 3e édition, l’organisation de 2 déjeuners-débats, une soirée sur le thème de la CSRD et un dîner le jeudi 17 octobre avec le lancement du consortium franco-norvégien GreenTech. Le programme est à consulter ici, et pour s’inscrire, ça se passe là.