Bioviva accompagne par le jeu la stratégie RSE des entreprises

6 mai 2024
Bioviva
©DR

Précurseurs dans la compréhension des enjeux sociétaux transformant le monde, dès la fin des années 90, les jeux à impact de Bioviva (Montpellier) sont remis entre les mains des enfants, enseignants, parents… et entreprises. Sorti fin 2023, Métamorph’Ose se présente comme un jeu de formation sur la transformation des grands groupes, entreprises de taille intermédiaire et PME. Un jeu d’actualité, avec la montée en puissance de la RSE (responsabilité sociétale et environnementale), et l’arrivée de la directive européenne CSRD. Tous les secteurs d’activité sont concernés : banque et assurance, audit, transport-logistique, agroalimentaire, luxe, numérique…
« C’est un jeu à taille humaine, avec 12 personnes réparties par équipes de 3, pendant une demi-journée ou une journée, dépeint Jean-Thierry Winstel, 54 ans, fondateur, président et actionnaire de la PME de 30 salariés (CA : 6 M€). L’objectif est de renforcer l’appropriation de la RSE et de faciliter l’intégration de la CSRD au sein de l’entreprise, mais aussi avec les parties prenantes telles que les fournisseurs et clients. Un livrable sort au final, sous la forme d’un plan d’actions RSE sur mesure ou de pistes de nouveaux modèles économiques intégrant les enjeux sociétaux. »

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« L’accompagnement dans les démarches RSE est très bagarré au niveau des cabinets de conseil. Mais dans le domaine ludique, Bioviva a une carte à jouer, avec son expertise d’ingénierie pédagogique. Nous nous associons avec des partenaires, des formateurs qualifiés et des consultants de haut niveau pour chaque secteur d’activité, afin de rendre la RSE accessible, désirable et concrète », détaille ce diplômé d’une maîtrise de biochimie à Montpellier et d’AgroParisTech.

Rôle de la Région. « L’aventure n’est pas terminée. Des projets audiovisuels et numériques sont notamment en cours…, confie-t-il. Je viens d’obtenir une subvention, dans le cadre de ces nouveaux projets innovants. L’audiovisuel et les réseaux sociaux ne sont pas mon cœur de métier. Pour éviter de tout financer sur mes fonds propres, la Région et son agence Ad’Occ m’ont mis en relation avec les bons interlocuteurs à Bpifrance et Montpellier Méditerranée Métropole. Les organisations échangent entre elles, plus qu’avant. Cela donne des résultats concrets. »

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